Nahéma, la tendresse
Elle donne sa confiance et sa tendresse aux hommes de sa vie ; elle vit sa vie comme un oiseau envolé dans un ciel parfois si sombre qu’elle se réfugie dans les bras d’un père à l’attitude indéfinissable, à l’amour infini, aux ténèbres lumineuses. Oui, le côté sombre des gens peut revêtir des habits de lumière… Nahéma veut la vérité, elle ira jusqu’au bout d’elle-même pour l’atteindre.
Greg, l’indéchiffrable
Il donne son amour indestructible à sa fille ; il garde au fond de lui, un amour énigmatique pour sa femme Inaya, disparue lorsque Nahéma avait cinq ans. Il est la louve qui protège son enfant, il est un homme aux secrets insondables, il vit aux frontières de l’insoupçonnable. Qui est réellement ce père et jusqu’où a-t-il atteint l’impensable ?
Inaya, l’obscure
Elle ne donne d’elle qu’une part floue, indécise, incomplète. Elle disparaît comme dans un songe dont on se demande s’il est un rêve ou un cauchemar. Image à la fois belle et diablesse, elle hante les murs de la chambre de Nahéma, elle hante l’esprit de Greg. Silhouette animale, dans quel lugubre destin s’est-elle aventurée ?